Introduction

En tant que marchinoises, marchinois engagés sur le terrain de la politique, nous revendiquons un projet de société où la planète est habitable et la société juste. Personne ne doit être laissé sur le bord du chemin. Nous voulons un monde où se déplacer, se soigner, s’alimenter, se chauffer peut-être à la portée de tous. Nous reconnaissons les actions menées lors des législatures précédentes. Des initiatives ont contribué à façonner notre village. Nous saluons les efforts déployés qui ont su poser des fondations sur lesquelles nous pouvons bâtir l’avenir. Cependant, notre engagement ne s’arrête pas là. En tant que groupe responsable et attentif aux besoins des citoyens, nous nous engageons à entretenir les actions existantes qui ont prouvé leur efficacité. Parallèlement, nous sommes déterminés à développer de nouvelles actions qui permettront de faire de notre village un lieu où il fait bon vivre pour tous. Nous sommes des personnes issues de la société civile, pas des professionnels de la politique. Nous avons à coeur de faire de Marchin une commune où il fait bon vivre, dans le respect des différences de chacun. Ces 12 années de présence dans la vie politique communale, nous ont appris que les citoyens doivent être davantage concertés. Il sera important à nos yeux, si vous nous octroyez votre confiance et que nous devions entrer en majorité, de dédier une partie de notre temps professionnel au service de notre commune. Des mandataires investis dans leur commune et pas de passage vers un autre niveau de pouvoir. Votre voix compte : c’est ensemble que nous ferons de notre village un endroit où il fait bon vivre.

 

Énergie et Nature : un avenir commun.

L’énergie est devenue la question sociale et environnementale du XXIe siècle. Il est temps d’entrer dans notre époque et d’en relever les défis !
De manière urgente et prioritaire, nous devons nous préparer à consommer moins d’énergie, à la produire autrement, tout en veillant à ce qu’elle reste accessible à tous. Cela demande de penser et de gérer le présent mais également d’anticiper l’avenir de Marchin dans 10, 20, 50 ans. C’est aussi un défi à l’échelle du pays qui concerne chacun d’entre nous puisque en 2030, l’Europe sanctionnera la Belgique si elle n’est pas parvenue à réduire ses émissions de CO2 comme elle s’y est engagée. Cette réalité est encore trop peu connue. Il va de soi qu’au-delà de notre commune et de notre petite Belgique, en mettant les efforts cumulés à l’échelle du globe, c’est la planète entière qui en sera bénéficiaire.
Afin d’aborder au mieux les mesures à prendre au sein du patrimoine communal, ECOLO veut établir un cadastre énergétique des bâtiments communaux et du CPAS. ECOLO veut également travailler dans la transparence et transmettre ces informations à la population. Un monitoring des évolutions pourra alors être établi et communiqué.
Il faut veiller à ce que les travaux économiseurs d’énergie soient accessibles à tous, que ce soit sur le plan financier ou administratif. C’est pour cela que nous souhaitons la création d’un emploi « climat » destiné à l’accompagnement complet et individuel des citoyens dans leurs démarches administratives et de financement. Les méandres des procédures d’obtention des subsides ne doivent plus être un frein et personne ne doit rester au bord de la route. Un lien avec les services du CPAS doit être établi pour également cibler les personnes les plus démunies bien que propriétaires de leur logement.
Pour faire face au changement climatique, nous voulons que l’emploi créé accompagne également les citoyens dans la modification/adaptation de leur relation à la santé. Il faut organiser des conférences et de nombreuses informations doivent être fournies. Nous avons tous besoin de réponses car nos questions et incertitudes sont de plus en plus grandissantes.
Enfin, ce n’est plus un secret, pour lutter contre le dérèglement climatique et ses conséquences nous devons continuer à planter des arbres et des haies.

Fin 2023, la Wallonie a débloqué un montant de dix millions d’euros à destination des communes. Avec l’aide des agriculteurs et des citoyens, ECOLO ne veut pas rater cette opportunité, d’autant plus que cela fait bien trop longtemps que plus rien n’a été entrepris sur notre territoire.

L’adage est simple à saisir : « Protège la nature et la nature te protégera ».

 

Vivre ensemble : notre soutien au développement de la vie associative à l’économie locale.

Les épisodes de sécheresses extrêmes, suivis d’orages intenses peuvent avoir des conséquences désastreuses contre lesquelles nous ne sommes souvent pas préparés.
Nous devons promouvoir toutes les initiatives de quartiers qui encouragent à la solidarité et mettre sur pied des plans de prévention et d’action avec les acteurs de la terre.
De manière générale, il faut créer des ponts entre les producteurs locaux, les commerçants et les consommateurs afin de cumuler les effets bénéfiques sur l’économie locale, notre santé et la mobilité. Pour soutenir les circuits courts, la population aurait besoin d’un catalogue dont les mises à jour soient plus systématiques.
En lien avec la santé, nous souhaitons soutenir nos agriculteurs et horticulteurs pour toute initiative de conversion à un travail de la terre respectueux du sol et de la biodiversité. Ce sera une aide à la recherche d’informations et de subsides.
Pour valoriser le marché hebdomadaire, nous préconisons d’abaisser au minimum légal les redevances des emplacements. L’organisation d’un transport en commun faciliterait l’accès aux habitants éloignés.
Ecolo Marchin encourage aussi la création de potagers collectifs : nous pourrions y recréer du tissu social, tout en profitant des bienfaits de la terre (imaginez un « apéro jardinatoire » au cours duquels les jardiniers amateurs nous feraient découvrir leurs productions).
Nous constatons que les apiculteurs amateurs sont de plus en plus nombreux sur notre territoire. ECOLO entend bien procurer une aide pour soutenir et promouvoir cette activité dont les bienfaits et la nécessité ne sont plus à démontrer. Nous souhaitons restaurer des espaces propices à la vie des insectes pollinisateurs avec votre aide !

 

Vers un cadre de vie durable et inclusif.

Un cadre de vie durable ne peut se concevoir sans l’inclusion de tous. Nous veillerons à ce que chaque voix soit entendue et que chaque Marchinois, puisse participer activement à la vie de notre village.
Concrètement, pour enrichir nos espaces publics tout en préservant notre cadre de vie :
– Imaginons des aires de jeux sécurisées pour les enfants, adaptées aux envies/besoins tant des tout petits que des ados.
– Installons des bancs ombragés aux quatre coins de la commune, favorisons les espaces publics, pour créer des lieux de rencontre où les Marchinois peuvent se rassembler et échanger.
– Aménageons des espaces où il sera possible d’attacher son vélo.
– Cherchons ensemble des solutions afin d’éradiquer les dépôts clandestins sur notre commune.
– Encourageons et facilitons l’accès aux locaux communaux existants, pour permettre d’y développer des activités citoyennes.
Et puisque l’entretien du jardin occupe une majorité d’entre nous, nous aimerions développer des services communaux à leur intention : la mise à disposition d’un broyeur de branches à domicile ou la location de divers matériels par le service de réinsertion professionnel du CPAS (vélos électriques, tondeuses…).

 

Travaux, urbanisme : des efforts restent attendus.

Au contact de la population marchinoise, nos Conseillers sont régulièrement interpellés sur l’état des voiries communales.

Nous sommes nombreux à avoir constaté la récente multiplication des projets de construction, la circulation va donc immanquablement s’amplifier sur nos routes.
Nous préconisons donc un renforcement du service travaux. Nous devons prioriser le temps octroyé au personnel pour être sur le terrain. Nous devons revoir le matériel afin de répondre à une efficacité tant attendue. Nous devons faire un cadastre de nos routes et effectuer une planification à long terme des travaux de rénovation.

 

La prochaine législature nous obligera à la rédaction et à la mise en application d’un schéma de développement territorial (SDT) sous peine d’être tributaires de règles émises unilatéralement par la Wallonie. Ce document balise les règles urbanistiques dans notre village (types de bâtiments, hauteur, …). Il est impératif que ce document soit réalisé avec et pour les citoyens. Pour ce faire, bien qu’il y ait enquête publique, ECOLO veut instaurer de nombreuses entrevues avec la population afin de créer un document qui rassemblera les souhaits du plus grand nombre. Parce que le territoire communal appartient à chacun d’entre nous et que c’est ce document qui déterminera le visage de Marchin demain (Alors : ville ou campagne ?)

 

De la Jeunesse à la Sagesse : construire l’avenir ensemble.

Le milieu de l’accueil extrascolaire est indispensable pour de nombreuses familles. Beaucoup d’enfants fréquentent quotidiennement le lieu d’accueil. Ces dernières années, quelques efforts ont été menés pour améliorer l’organisation. Nous souhaitons les accentuer et y accorder plus de moyens ! ».

Il faut :
– Revaloriser les rémunérations du personnel encadrant et lui donner accès à des formations.
– Garantir des locaux sécurisés et adaptés.
– Fournir des jeux et du matériel pédagogique de qualité.

La jeunesse n’a de cesse de réclamer un lieu de rencontre. Leur message reste sans écho auprès de nos autorités. Nous souhaitons créer un accompagnement encadré, où le vivre ensemble, l’épanouissement, la créativité et l’expression seront les mots d’ordre ainsi qu’un lieu à disposition des différents mouvements de jeunesse.

Nous voulons un enseignement qui garantisse le développement et l’épanouissement de nos enfants car cela ne peut en être autrement. En tant qu’écologistes, nous faisons confiance aux équipes présentes et nous souhaitons être à leur écoute et leur apporter notre plus grand soutien.

Nous soutiendrons une éducation de sensibilisation pour tous en privilégiant la découverte de la faune et de la flore, afin de permettre un éveil à la nature en collaboration avec les équipes pédagogiques de notre commune.
Nous favoriserons la collaboration entre divers intervenants locaux, dans le cadre de la mise en place du plan de pilotage des écoles.
Nous voulons développer des ponts intergénérationnels avec des rencontres avec les résidents de « La Belle-Maison », la maison des solidarités et Marchin village solidaire.

 

Une culture pour tous les publics, une société en lutte contre les discriminations.

La culture doit rester un vecteur d’ouverture, de démocratie et de partage.
Les investissements de la Commune dans le pôle des arts du cirque et de la rue ont été considérables ces dernières années. Nous estimons donc que le développement de Latitude 50 lui permet maintenant de voler de ses propres ailes. Bien évidemment, l’ASBL étant une spécificité de la région, nous nous engageons à poursuivre la promotion de ses créations.
L’extension vers les communes voisines effectuée par OYOU doit également continuer à être conforté. En ce qui concerne les bâtiments de notre Centre Culturel, des travaux d’isolation et la pose de panneaux photovoltaïques seront à prévoir, au vu des coûts énergétiques actuels.
Nous devons revoir les méthodes de communication et d’information vers les marchinois comme le placement de panneaux d’information digitaux à quelques endroits stratégiques de la commune. Ceci permettrait également de promouvoir tous types activités sur le territoire (brocantes, tourisme, commerciales, festivités, sportives, sociales…).
Notre village est aussi un lieu chargé d’histoire, nous veillerons à en faire connaître le passé à transmettre notre patrimoine au sein de nos écoles et aux visiteurs de passage à Marchin (car il est essentiel de protéger la démocratie, ce précieux héritage, des extrémistes de toutes sortes).

Dans cette optique, nous voulons aussi la remise en place d’un Conseil communal des enfants : les rouages de la démocratie doivent s’apprendre dès le plus jeune âge peu importe qu’elle soit politique ou citoyenne.

 

Préserver et valoriser le caractère rural de notre commune.

Ecolo veut inscrire Marchin dans un Plan Communal de Développement Rural (PCDR) pour lui permettre de bénéficier de financements auxquels la commune n’a pas encore fait appel. Les projets déposés, s’ils sont validés par des commissions regroupant les politiques et des citoyens, pourraient concerner l’aménagement d’aires de jeux, des cheminements, …
Le diocèse de Liège propose aux communes de notre province de partager ses églises entre le culte et diverses activités. Nous pourrions y organiser des expositions, des concerts, des petits marchés ou encore bénéficier de ces lieux pour organiser des réunions de quartier… Ce projet implique des investissements afin d’équiper les églises pour cette mixité d’activités mais également pour restaurer ces édifices. Le PCDR peut intervenir financièrement dans un tel projet.

Il existe également un Plan de Développement de la Nature (PCDN) qui a pour but de préserver la biodiversité sur le territoire communal et de faire apprécier notre patrimoine aux visiteurs. Des « couloirs de nature » pourraient être créés sur des terrains communaux couplés avec certains terrains de particuliers, preneurs du projet.

 

Des solutions de mobilité plus respectueuses de l’environnement.

Afin de réduire notre empreinte écologique (donc notre production de CO2), il va falloir développer des alternatives à l’usage unique de la voiture pour autant que faire se peut. C’est un travail qui demandera beaucoup de réflexion et la conjoncture de nombreux paramètres. Mais surtout de la volonté et du bon sens !

ECOLO est prêt à relever le défi et vous propose quelques exemples simples et évidents :

– Nous devons organiser des ramassages scolaires à vélos et/ou à pied pour les enfants qui habitent dans un périmètre proche des écoles.
– Nous devons promouvoir l’utilisation du vélo (électrique ou pas) et de la marche comme outil de bonne santé.
– Nous devons faire connaître et soutenir le service « Taxi Condruze » destiné principalement à nos ainés, aux personnes précarisées ou à mobilité réduite.
– Nous devons faire la promotion des plateformes de covoiturage.
– Nous devons promouvoir et garantir le service TEC.
Pour cela il faut naturellement mener des actions :
– Créer des espaces apaisants pour chaque utilisateur de la voirie. Chacun à sa place, avec des indications claires où tout le monde sait ce qu’il peut et doit faire.
– Créer des pistes cyclables sur certains tronçons de liaison entre nos hameaux et créer de nouveaux trottoirs.
– Installer des râteliers et des abris vélos aux abords de nos écoles et de nos bâtiments à finalité publique, sans oublier nos commerces et services.
– Créer de nouveaux cheminements piétons/cyclistes en parallèle et hors de nos voiries.
– Installer des abris bus en masse. De réelles possibilités existent pour implanter ceux-ci à quasiment chaque arrêt. Nous ne devons plus voir nos enfants attendre leur bus sous des pluies battantes sans possibilité de se mettre à l’abri. Il en va de la promotion de ce moyen de transport et du bien-être de ses utilisateurs.
– Entretenir et aménager nos accotements, nos sentiers, nos chemins et nos routes. Pour qu’ils soient utilisés en toute sécurité, il va de soi que ceux-ci soient praticables en toute saison.

Certes des moyens et des outils doivent être mobilisés. Un constat s’impose toutefois. Ils existent bel et bien mais n’ont jamais été mis oeuvre ou demandés au sein de notre commune. Il n’y a pas eu de plan de mobilité réalisé ce qui permettrait d’investiguer les meilleures solutions pour la gestion de la vitesse dans nos rues. Il n’y a eu aucun subside demandé bien que la Wallonie ait lancé plusieurs appels à projets pour développer la mobilité douce. On parlera des plans PIWACY (2020-2021) et PIMACI (2022-2024).
Sans rentrer dans les détails ces plans permettaient de financer outre des projets d’infrastructures d’envergure, du marquage routier, de la signalisation, de l’achat de râteliers et d’abris vélos, … Sur ce dernier plan, seul 3% des communes wallonnes n’ont pas remis de projet. Marchin en fait partie !

Tout le monde l’aura compris, il s’agit juste d’une volonté politique et ECOLO veut être au rendez-vous du prochain plan d’investissement pour une Wallonie cyclable.

 

Intelligence collective et participation citoyenne.

Au début de la dernière législature, Écolo avait obtenu que soit inscrite dans le pacte de majorité la notion de budget participatif. Pourtant, malgré notre insistance chaque année lors du vote du budget, celui-ci n’a jamais été mis en application !

Dans un budget participatif, une somme d’argent est mise à la disposition des citoyens (les écoles, les clubs sportifs, les comités de quartiers, …) sous forme d’appel à projet afin d’améliorer le cadre de vie d’un lieu, d’une rue, d’un quartier. Celui-ci est attribué par un jury … Par exemple, un budget participatif permet l’achat et l’installation de mobilier urbain, de râtelier vélos à l’usage de la collectivité… Nous mettons un point d’honneur à développer la participation citoyenne au niveau de notre commune, pour que les Marchinois puissent enfin bénéficier de ces budgets.
Nous voulons également mettre en place des assemblées citoyennes où seraient débattues des questions concernant le quotidien des habitants … avant la prise de décisions. Orienter le budget afin qu’il réponde aux souhaits de la population nous semble primordial.
Pour ce faire, nous comptons établir des critères d’octroi et des procédures plus claires pour l’obtention des subsides communaux (qu’ils soient financiers, logistiques ou administratifs).

 

Revitaliser la démocratie et la gouvernance publique.

Nous voulons :
– Rendre accessibles les ordres du jour du Conseil communal par voie d’affichage décentralisé.
– Organiser épisodiquement des Conseils communaux dans les différents hameaux du village et retransmettre la totalité des Conseils en vidéo sur le site internet communal.
– Rappeler le droit d’interpellation des élus par des citoyens en séance du Conseil communal.
– Appliquer le principe du referendum pour certaines questions d’ampleur susceptibles d’impacter l’ensemble de la population.
La vie politique communale doit rester transparente et proche des citoyens.

 

Le redéploiement des activités industrielles de la vallée.

En tant qu’Ecologistes, nous saluons la relocalisation d’entreprises en Europe et d’autant plus dans notre belle commune de Marchin.
Nous serons donc attentifs et mettrons toute notre énergie à favoriser ce genre d’initiative.

 

La justice sociale restera notre combat de fond.

Une attention toute particulière sera donnée à l’immeuble « La Belle-Maison », dont les quarante-cinq logements sont prioritairement destinés à nos ainés et aux personnes porteuses de handicap.
Nous voulons soutenir les initiatives d’habitats groupés intergénérationnels et les projets de logements à loyers modérés sous la forme d’habitats légers (Tiny houses) qui soient respectueux de l’environnement.
Et pour faciliter l’accès aux soins de santé et à la prévention, nous souhaitons regrouper les services existants en incluant :
• La permanence du CPAS.
• Un centre ONE.
• Un centre de prévention et de lutte contre l’aggravation des maladies.
• Un.e éducateur.trice de rue.
• Créer des moments, des espaces et un lieu pour permettre aux personnes minorisées d’être écoutées et entendues.
• Un relais pour les urgences sociales.

Pour l’inclusion du handicap dans nos milieux de vie, nous souhaitons une représentativité de ces personnes dans la Commission Consultative de l’Aménagement du Territoire et de la Mobilité (CCATM). Il faut attirer l’attention dans ce domaine sur la conception de nos bâtiments publics, sur les aménagements dans l’espace public et le mobilier urbain. Un exemple navrant est la non-accessibilité et la non-adaptation du distributeur de billets de la rue joseph Wauters aux personnes en chaise roulante. C’est une privation d’autonomie, d’indépendance et de discrétion pour ces personnes.